Cette cité catalane est un concentré de la particularité de son peuple attachant, indépendant et imaginatif. Ici, à Barcelone, rien ne ressemble à l’Espagne traditionnelle, tout simplement parce qu’on est ailleurs. Foisonnante et active comme peu de métropoles, son port méditerranéen en témoigne, mais vous ne raterez pas les inévitables : Le Parc Guell, la Cathédrale et la Plaça de Sant Jaume qui prend ses plus belles couleurs, sitôt qu’une célébration ou un événement spécial appelle ici les barcelonais festifs. Barcelone l’extra-ordinaire où l’on soupe après 10 heures du soir et où l’on vit plus la nuit que le jour….
Il suffit de prononcer les noms de quelques villes qui sonnent comme des accords de guitare flamenco : Grenade, Cordoue, Séville, pour savoir que nous sommes dans le berceau de l’Espagne, ce berceau méditerranéen qui a même vu naître 2 empereurs romains : l’Andalousie.
Parmi ces cités glorieuses, Séville, près de laquelle Christophe Colomb partit à la découverte de l’Amérique en 1492, est sans doute la plus chargée d’Histoire. Au XVIème siècle elle est considérée comme la véritable Capitale de l’empire espagnol et tous les bateaux chargés d’or venant d’outre Atlantique abordaient ici.
On dit même que Séville était la plus riche de toutes les villes du monde.
Aujourd’hui les témoignages de cette époque sont innombrables, palais, églises, cathédrales évoquent la puissance de ce passé : L’Alcazar, la Giralda, la Plaza de España, la Cathédrale Notre-Dame du Siège, la Torre de Oro, la Fabrique Royale de tabac, le palais de San Telmo, les arènes de la Réal Maestranza. Mais plus récent, Le Metropol Parasol, très futuriste, montre que cette vitalité s’est longtemps poursuivie et est toujours d’actualité.
La Vénétie évoque à tous 7 siècles d’une Histoire foisonnante. Et quelle émotion esthétique quand la ville sérénissime au petit matin, lève un coin de voile sur ses palais et ses églises, tandis que glisse en secret sur le Grand Canal votre irréelle gondole.
Des paysages faits de villages perchés, de collines verdoyantes et dorées, de champs entourés de hauts cyprès et puis l’éblouissement devant FLORENCE qui n’est que Palais somptueux et plusieurs fois centenaires, Basiliques, Cathédrales, riches et nobles demeures : voici la Toscane, voici Florence.
La Méditerranée a un pays, la Grèce. L’Histoire de l’Antiquité qui a fondé notre civilisation ? La Grèce encore. Les couleurs du paradis, le bleu et le blanc, qui accrochent la lumière aux façades des maisons de ses 365 îles ? La Grèce toujours. Au son de la musique grecque, au clapotis des vagues, à la douceur de cette brise marine, il n’est rien de plus béni des dieux que de vous laisser porter par votre rêverie. Destination Beauté : Partons en Grèce.
Symbole de températures douces, de ciel bleu, de mer et de soleil, la Provence d’Azur et celle de l’intérieur n’arrivent pas à oublier leurs 2500 ans d’Histoire ni leur art-de-vivre particulier qui fascine tant les peuples du Nord !
Un superbe rocher posé au beau milieu de la Méditerranée ! Des falaises abruptes de granit rouge ou de calcaire d’un blanc éblouissant, des villages perchés que couronnent des maisons hautes de style génois, telle nous apparaît cette ‘’Ile de Beauté’’ dans son écrin d’azur. Sur ses routes de montagne, la liberté complète est accordée aux animaux : vaches, cochons sauvages, chèvres, accompagnent les marcheurs ou profitent de l’ombre des châtaigniers. Mais la Corse ne serait pas aussi attachante sans la générosité de son peuple fier de son particularisme, sans sa musique quand les guitares et les chants traditionnels s’élèvent le soir venu.
L’Art du renouveau italien de toscane est parti un jour pour un long voyage vers l’ouest séduit par la douceur de son climat, il a posé son savoir-faire au bord de la Loire. Les Rois de France successifs y ont construit pas moins de 32 châteaux pour y passer la belle saison : François 1er y fait bâtir Chambord en 1519, avec plus de 420 pièces et 282 cheminées. Il reste le grand témoin de l’inventivité artistique de l’époque Renaissance.
On lui prête tant de qualités, on lui attribue tant de merveilles artistiques, on la pare de tant de beautés historiques ou modernes, que Paris pourrait devenir aisément une succession de clichés faciles. Alors, au-delà du mythique et de l’image conventionnelle de la Tour Eiffel à l’Arc de Triomphe, de la Concorde à l’Opéra… (que nous ne manquerons pas), nous allons au-devant d’une cité moins connotée qu’il n’y parait.
Capitale de la culture, de l’écologie, du vélo, cette cité aux 100 canaux pourrait rappeler Venise par son côté ‘’flottant’’, si son architecture n’était pas à l’opposé, toute en frontons flamands et en maisons penchées à droite ou à gauche. Comme à Venise, d’autres bâtiments de pierre qui se mirent dans les canaux sont l’héritage du passé, d’un XVIIème siècle où ces petits palais n’étaient que de riches demeures unifamiliales….
Une enclave dans l’Europe, oui, Londres en est une, et pas seulement pour des raisons politiques. Plus qu’une enclave, elle est une parenthèse mystérieuse : Comment peut-elle contenir près de 9 millions de personnes affairées autour de la ‘’City’’ et rester aussi agréable à vivre ? Ses parcs et jardins, l’amabilité de ses résidents, son côté résolument cosmopolite, font de ce berceau de l’Art contemporain l’une des villes les plus convoitées au monde.
Redevenue Capitale de l’Allemagne réunifiée après la chute du Mur, Berlin s’affiche sans complexe comme la ville du souvenir assumé, comme la capitale de la Paix retrouvée. Après 28 ans de partition, cette ville qui fut un point de conflit central entre deux mondes a choisi un dynamisme architectural et culturel que bien des villes européennes lui envient. Riche de cet élan, fière de ses constructions futuristes et de ses avenues surdimensionnées, elle préserve avec soin ses nombreux lieux de mémoire et dégage un optimisme ambiant qui surprend. Il faut voir Berlin autrement car cette ville ne peut se résumer à la Porte de Brandebourg mondialement connue. Berlin c’est une multitude de quartiers qui nous appellent, nous interpellent, de Kreuzberg à Mitte, et de Prenzlauer Berg au Palais du Reichstag.
Aurions-nous oublié que pendant des siècles, Tsars et Tsarines, Princes, comtes et autres aristocrates russes parlaient tous couramment le français ? Est-ce cet usage, ajouté à la fascination de leurs souverains successifs pour la France qui apportent ce supplément d’affection que la francophonie nourrit avec cette merveilleuse cité ?
La ville des Tsars, grâce à son fondateur visionnaire Pierre Le Grand, puis à sa continuatrice Catherine II, ne laisse personne indifférent, pas même l’Unesco, (ville classée au Patrimoine de l’Humanité). La ville n’est que splendides façades peintes sur les maisons nobles et canaux, (car la ville fut bâtie un peu comme Venise), ponts ouvragés, églises cathédrales, palais, ‘’prospekts’’, (immenses perspectives), riches musées : Une vaste cité au bord de la Neva, dont nous vous invitons à voir la face cachée et la magnificence.